Bonjour,
Sur ce blog, une nouvelle rubrique a été ajoutée : « contributions élèves et parents ».
Elle vous permet de mettre en ligne un contenu, une ressource intéressante, pas forcément en lien avec ce qui est abordé en classe, mais qui vous semblent dignes d’intérêt.
Aujourd’hui, c’est Pablo et sa mamie qui proposent des photos du télescope spatial Hubble !
Il fallait imaginer un trésor à partager et à cacher comme dans la « Guerre des boutons ».
A la clé, la nécessité d’employer un nouveau temps pour écrire : le conditionnel présent.
Il manque le texte de Florentin.
Angèle :
Agathe :
Anton :
Carla :
Chloé :
Emile :
Emmanuel :
Enzo :
Gabin :
Gaspard :
Ilane :
Joachim :
Jules :
Laure :
Léa :
Loane :
Morgane :
Orane :
Pablo :
Pauline :
Quentin :
Romain :
Romane :
Simon :
Wilan :
Zoé :
En classe, nous avons étudié la vie des Gallo-Romains.
A cette époque, Bordeaux s’appelait BURDIGALA.
Il reste aujourd’hui une trace bien visible du passé gallo-romain de Bordeaux : les ruines du palais Gallien. C’était un amphithéâtre, comme celui de Nîmes.
Sur certaines représentations d’artistes ou d’historiens, on peut voir le palais Gallien. Il n’était alors pas encore une ruine. Essaie de le retrouver !
Le vif pourtrait de la Cité de Bourdeaux – gravure sur bois 1544
Site de Bordeaux, implantation du castrum, cartographie de l’Université de Bordeaux III
Plan de la ville de Bordeaux, 260 AP-JC, gravure extraite de l’Histoire de la ville de Bordeaux par Dom Devienne, 1771
Restitution de Bordeaux sous le Haut-Empire », aquarelle de J-M GAULBIN
Aujourd’hui, pendant la lecture de « La guerre des boutons », L’Aztec des Gués, le chef de la bande des Velrans, a prononcé son cri de guerre : « La Murie vous crève !« .
Un cri de guerre qui ressemble à un juron, mais qui ne figure dans aucun dictionnaire SAUF dans le dictionnaire du patois de la Franche-Comté, une région située dans l’est de la France (en rouge), celle où est né Louis PERGAUD :
Louis PERGAUD vous donne d’ailleurs une définition de cette injure :
« La Murie, voilà, on se sait plus très bien ce que c’est ; peut-être une sale maladie, quelque chose comme un fantôme qui sortait tout vivant du ventre des bêtes crevées qu’on laissait pourrir dans les coins et qui voyageait, qui se baladait dans les champs, dans les bois, dans les rues du village, la nuit. On ne la voyait pas : on la sentait, on la reniflait «
(Louis PERGAUD, La guerre des boutons, 1912, Livre III, Ch. 4)
Heureusement, les acteurs qui interprétaient Lebrac et L’Aztec ont toujours été de bons amis, même 50 ans après !
